À son domicile, le 17 mai 2023, à l’aube de ses 87 ans, est décédée madame Anne-Louise Fleury, fille de feu Aline Ferron et de feu Paul Fleury. Elle demeurait à Québec.
Elle a rejoint sa fille Sylvie, elle laisse dans le deuil son fils Martin (Lise Laforest), ses frères et sœurs: Marie (Rémy Giroux), Monique (Jacques Labelle), Jean (Élise Lavoie), feu Paul Jr., Madeleine (Jean-Pierre Pinson), feu François et Hélène (feu Jacques Hurtubise), ainsi que ses neveux, nièces, cousin(e)s, dont Luce Fleury, Danielle Fleury (Richard Delorme) et Suzanne Lafrenière, autres parents et ami(e)s, en particulier Claude Rony, Nicoletta Timis, Rachelle Ahoyo Moumouni (Charles Moumouni) et Robert St-Pierre. Elle fut précédée par ses tantes Madeleine Ferron, Yvette Ferron (feu Gérard Martin) et Jeannette Ferron (feu Édouard Fleury).
La famille recevra les condoléances à la :
Coopérative funéraire des Deux Rives
Centre funéraire du Plateau
693, avenue Nérée-Tremblay Québec (Québec) G1N 4R8
le samedi 8 juillet 2023, de 13 h à 16 h. Une cérémonie sera célébrée au salon le même jour à 16 h.
La famille tient à remercier le Dr. Yves Houle (Clinique Médicale Saint-Louis) des services à domicile du Cap Diamant pour les excellents soins prodigués.
Que de souvenirs de tante Louise à St-Nicolas. Un accueil chaleureux en tout temps, malgré les nombreux enfants qui débarquaient.
À Martin et à la famille, mes sincères condoléances. Le départ d'une mère laisse toujours un grand vide, qu'il nous faut apprendre à combler par la suite. Je vous souhaite que la vie apaise votre tristesse.
Paule De Blois
(Fille de feu Claire Lesage)
À vous Martin et à tous les membres de votre famille j'offre mes sincères condoléances. Comme dame de compagnie, j'ai eu la chance de partager de beaux moments avec votre maman. De très belles conversations, de très beaux échanges. Par dessus tout, j'ai eu l'immense privilège un jour de l'écouter jouer du piano et de la voir très émue après une excellente prestation. Quel beau moment que je n'oublierai jamais. Puisse le temps apaiser votre peine Martin.
Guylaine Ouellet
Mes sincères condoléances. Je garderai toujours un très beau souvenir de mes rencontres avec cousine Louise au fil des ans. Son écoute, son intérêt pour tout, son amour de la musique, son si beau talent au piano. Bref, de belles rencontres toujours. Un merci spécial à ma sœur Danielle pour toute la présence, l’aide, les sorties et la grande affection dont elle a entouré cousine Louise ces dernières années ».
Marcelle Fleury
La famille de Jean Fleury offre la plantation de 6 arbres (1 par cousin/cousine) en mémoire d’Anne-Louise, dans le cadre du programme Héritage.
Je garde un bon souvenir de tante Louise. Souriante,généreuse et toujours prête à nous recevoir. Mes plus sincères condoléances à Martin et toute la famille.
Malgré les années passées éloignées toi et moi, je tiens à t'offrir toute ma sympathie pour la perte de ta soeur. Je suis toujours bien touchée par les peines qu'ont à subir mes amies passées. Bon courage.
Françoise-Thérèse Martin
Nos condoléances à vous tous à l’occasion du décès de votre grande sœur.
Nos pensées vous accompagnent.
Cher Martin, 3 arbres pour notre chère Louise. Je pense à toi et suis très malheureuse de ne pas être avec vous samedi.
Un accident malheureux m empêche d aller à Québec. Je serai avec vous en pensée.
Ma chère grande sœur, Louise,
Ton départ soudain et inattendu a créé une onde de chocs dans la famille. Personnellement, je te voyais vivre comme Mamie jusqu’à 93 ans, mais le destin en a décidé autrement. Heureusement, Morphée est venu te chercher dans ton sommeil. Ton visage était paisible, a-t-on dit. Tu es donc partie sereinement, toi qui as connu tant de tourments dans ta vie avec le départ de Sylvie si tragique. Même si on savait que Sylvie souffrait de maladie mentale, tu as difficilement surmonté cette épreuve, te remémorant pendant des années tous les moments passés ensemble.
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Mais revenons à la beauté des choses. La place de la musique dans ta vie. À 19 ans, tu jouais sous les ordres du chef d’orchestre Wilfrid Pelletier alors directeur de l’orchestre symphonique de Montréal le 4e Concerto de Beethoven, ayant gagné le prix Sarah Fisher. En mai dernier, Madeleine, Monique et moi sommes allées entendre chanter Gauthier, le petit-fils de Monique, dans cette même salle où se produisait l’orchestre symphonique de Montréal à l’époque du concours. Tu aurais adoré le Kyrie Eleison chanté par environ 200 enfants. Gauthier a même eu un solo de flûte traversière. On se rapprochait de Dieu. Si tu étais née plus tard, , tu aurais continué à jouer, même mariée, et mère de famille. Mais l’époque voulait la femme et l’épouse au foyer.
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Que tu as aimé aller au spectacle, pratiquer ton piano, écouter les grandes œuvres . Je me souviens pour mes 40 ans; j’étais à Québec avec Jacques, les enfants et un couple de nos amis . Tu nous avais tous gentiment à venir prendre l’apéro chez toi. Mamie, Tante Madeleine, François étaient là. Et quand nous sommes entrés, tu as mis la 5e de Mahler à plein volume. Le visage de mes amis valait un million de dollars. Puis après, tout le monde a papoté gentiment et joyeusement.
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Tu as été un être complexe passant de la joie à la peine très rapidement. Passant de la noirceur de l’âme, à l’enthousiasme communicatif. Tu avais l’âme d’une diva qui vivait haut dans les étoiles , Le Devoir sous le bras, parlant littérature et musique, tout en dégustant d’excellents produits que tu savais dénicher dans les meilleures épiceries fines de Québec. Tu recevais et cuisinais divinement. François voulait toujours savoir ce qu’on allait manger. Il en salivait d’avance. Tu avais un fin palais autant pour la nourriture que pour le vin. Pendant de très longues années tu nous as reçus à Noel préparant tout toi-même, toute seule, de l’entrée au dessert en passant par les fromages, et je me souviens encore de ta fameuse bombe Alaska.
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J’avais quatre ans quand tu t’es mariée. Je me souviens de ta belle robe et je trouvais que tu ressemblais à une princesse. Nous avions répété la veille à l’Église. Je m’étais promis de bien monter l’allée devant toi et papa car, en tant que bouquetière, on m’avait promis une belle maison de poupée, si je faisais bien ça. Elle a fait mon bonheur pendant des années. Les photos de ton mariage nous montrent bien que tu étais et de loin la plus belle de la famille …
Tu as été d’une grande générosité, allant voir maman au Jeffrey Hall plusieurs fois par semaine avec joie. Tu t’es même fait bénévole pour être plus près d’elle, alors que tu la voyais si démunie.
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Tu te faisais une joie de mes rares passages à Québec . Je t’avais même nommée la présidente de mon fan club, comme tu avais des mots si gentils et des tonnes de compliments à mon égard. Tu m’as offert des billets de spectacle à la salle Bourgie ou à la Maison symphonique. Toujours si généreuse ma chère Louise. Tu re réjouissais des moindres choses que je pouvais faire trouvant toujours cela extraordinaire et « pas possible » . Tu voulais tout savoir de nous et nos moindres agissements te donnaient du bonheur.
Madeleine allait te saluer chaque fois qu’elle allait voir Guillaume, Mélodie et les enfants.
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Martin a été ton bras droit fort longtemps. Son opinion comptait beaucoup pour toi. Tu étais heureuse qu’il ait maintenant une compagne . Tu n’avais que de bons mots pour Lise. Tu te sentais très souvent seule, et Jean , notre frère, t’a appelée tous les jours pendant de nombreuses années, même la veille de ton décès.
Et un jour, un ange est venu te voir : Danièle, notre cousine bien aimée. Elle s’est installée près de toi et ne t’a plus quittée. Rendez-vous chez le médecin, vaccins, spectacles, les Violons du Roy et elle venait causer avec toi, de tout et de rien, aimant ta compagnie. Avec le temps, tu étais devenue plus qu’une cousine, mais une amie pour elle.
Jamais Danièle, nous ne saurons assez te remercier nous, la famille Fleury de Yamachiche, pour tous les bienfaits, la sécurité, et le bonheur que tu as apportés à Louise, transformant même sa maison de trois étages en un élégant appartement, lui permettant de vivre jusqu’à la fin chez elle.
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J’espère que tu es au ciel ou dans un espace-temps où tu es avec ton cher François, Mamie, Paul et Papa, mais par-dessus-tout, que toi et Sylvie vous êtes au piano et au violoncelle vous berçant de ces retrouvailles tant attendues.
Veille sur nous … Ton frère Jean et tes sœurs, Monique Madeleine et Hélène ta petite sœur qui t’aime…
Cher cousin, c’est avec une grande tristesse que j’ai appris le décès de ta mère. Je garde un très bon souvenir de ma tante Louise, une femme douce gentille et chaleureuse. Michèle se joint à moi pour t’offrir nos plus sincères condoléances. Nos pensées sont avec toi dans ce moment difficile.
Benoît
Il y a de ces rencontres qui semblent avoir été programmées par la Providence. Lorsqu'elles se produisent, elles ne sont alors que la réalisation naturelle et marquante d'une vie.
Lorsque nous nous sommes installés sur la rue du Tertre un certain jour de 2003, nous étions loin d'imaginer que nous ferions la connaissance d'une grande dame qui, pendant 17 ans et au-delà, ferait partie de notre quotidien et de notre famille.
Anne-Louise avait un sens élevé des relations humaines. Femme de culture, de goût et de délicatesse, elle nous avait gratifié de son amitié et de son attention bienveillante. Nous retiendrons d'elle ses valeurs de service et de dévouement. Elle a laissé derrière de nombreux moments d'échange et de communion qui restent à jamais gravés dans notre coeur et dans notre esprit.
Que la terre lui soit légère et que son âme repose en paix.
Cher cousin, Mes sincères condoléances. J'aimais beaucoup ta mère. Bien généreuse à offrir des billets de concerts. Tu as tout organisé de manière très professionnelle.
