Marie-Josée et Stéphane,
C'est avec une grande tristesse que j'appris le décès de votre maman.
Sachez que je garderai le souvenir d'une femme douce et aimante, une amie et une collègue de travail avec qui j'ai partagé mes joies et mes peines, elle était toujours d'une oreille attentive et de bon conseil.
Elle va nous manquer, mais je suis certaine que sa souffrance est maintenant soulagée. Elle sera avec vous pour vous guider et vous aider a traverser la période douloureuse qui commence pour vous deux.
Marie-Josée si tu es encore a Montréal et que tu sens le besoin de parler, n'hésite pas a m'appeler on pourra prendre un café ensemble.
Je vous embrasse, bon courage,
Lucie Nolin