Roy, Alfred - Avis de décès | Coopérative funéraire des Deux Rives

Roy, Alfred

ROY, Alfred

2020

À l'Hôpital Jeffery Hale, le 6 avril 2020, à l’âge de 97 ans et 7 mois, est décédé monsieur Alfred Roy, époux de feu madame Yvette Brindamour, fils de feu madame Blanche Laroche et de feu monsieur Alfred Roy. Il a été conseiller municipal à la Ville de Québec pendant 20 ans. Il demeurait à Québec.

Il laisse dans le deuil ses enfants: Jean-Pierre (Jacqueline Lafleur), Francine, feu Andrée-Lucie, Claudette (Roch Poulin); ses petits-enfants: Dominic (Caroline Hardy), Thierry-Dimitri (Marie-Pascale Nadeau), Sarah (Mathieu Plante), Sophie (Vincent Arnaud); ses arrière-petits-enfants: Thomas, Lilianne, Colin, Emma, Félix et Léandre; ses beaux-frères et belles-sœurs: Renée Brindamour (Roland Beaulieu), Huguette Beaulieu et Monique Cantin; ainsi que ses neveux, nièces et ami(e)s. Il est allé rejoindre outre ses parents, ses frères et sœurs: Roland, Marcel, Marc, Fernand, Jacqueline, Madeleine et Gisèle. 

Une liturgie de la Parole aura lieu en tout intimité le samedi 4 juillet 2020 à 14 h. 

Nous remercions le personnel ainsi que les médecins de l’Hôpital Jeffery Hale pour les bons soins prodigués.

Vos messages de sympathie peuvent se traduire par un don au Patro Laval, 145, rue Bigaouette, Québec, GlK 4L3,
téléphone : 418 522-2005.

* * *

Alfred Roy Junior, surnommé Fred par ses proches et « Ti-Fred » dans son cercle politique, a rencontré et touché d’innombrables gens au cours de sa vie. Un homme de cœur au service de sa communauté, un autodidacte, un conseiller, un entrepreneur, un homme de famille, il aura porté bien des chapeaux au cours de ses 97 années de vie.

À la fois le quatrième enfant et le quatrième garçon d’une famille de huit, Fred est né le 28 août 1922. Son enfance a été marquée par une vie familiale simple et heureuse. Malgré les difficultés économiques engendrées par la crise de 1929, c’était un bon vivant qui avait à cœur les célébrations en famille. Dans sa jeunesse, une partie de l’année était rythmée par les fêtes de famille, qu’il s’agisse de la période de Noël, de la fête des Rois, du mardi gras, de Pâques, ou encore de la St-Jean-Baptiste. La venue occasionnelle du cirque Barnum & Bailey était un de ses plus beaux souvenirs d’enfance. Lorsqu’il était de passage, Alfred Senior les réveillait, ses frères, ses sœurs et lui, pour aller voir, en pleine nuit, la montée du chapiteau par les éléphants. C’était pour lui quelque chose de magique.

Fred a fait son parcours scolaire d’abord au Patro Laval et ensuite au Patro St-Vincent-de-Paul, jusqu’à l’âge de 16 ans. C’était aussi l’endroit où il passait ses vacances d’été. On ycomptait plus de 500 enfants séparés en groupes d’âge qu’on pouvait identifier selon la couleurde leur béret. Comme plusieurs autres enfants de son âge, Fred se rappelait avoir fait l’expérience de l’école buissonnière. La première fois, parti en ville avec son cousin, son compagnon de toujours, ils se sont faits reconnaître et sont revenus fièrement, à l’arrière d’une belle voiture, alors que tout le monde était inquiet. La deuxième fois, ils se sont retrouvés à passer la journée sous une galerie étroite étant donné la pluie, et vu l’ennui de la situation, ont pris la sage décision de ne plus recommencer!

Fred était un grand sportif. Il a notamment joué au hockey avec ferveur toute son enfance, son adolescence et au début de sa vie d’adulte. Il a d’ailleurs fait partie d’une équipe d’étoiles du Centre Durocher. C’était un vrai passionné; dans le temps de la crise, il réparait lui-même ses patins la veille des parties avec un pied de fer, faute d’avoir l’argent pour s’en acheter d’autres.

Après avoir fini sa huitième année au Patro, il a dû arrêter ses études pour commencer à travailler. Il est d’abord devenu garçon de bureau à la salle de rédaction du journal de l’Action catholique. Il avait choisi de faire ce métier car, tout comme son grand frère, il rêvait de devenir typographe. Au journal, sa responsabilité principale était d’aller porter les nouvelles du midi à Félix Leclerc, alors animateur à la radio de CHRC. C’était un réel plaisir pour lui de le rencontrer tous les jours, et de pouvoir s’asseoir et discuter un peu avec lui. De son salaire, il ne gardait que quelques sous pour lui-même afin de s’offrir soit un Pepsi à 5¢ après les compétitions de sport, ou encore pour aller voir trois films de suite au cinéma français le samedi après-midi pour la modique somme de 10¢.

En 1939, il a commencé à travailler au quotidien Le Soleil comme messager au bureau de la direction. C’est là qu’est né son intérêt pour la politique. Ayant accès à la réserve des journaux, il s’était mis à lire ceux des années 1934-35-36-37-38, ainsi que les bulletins de la Faculté des sciences sociales de l’Université Laval, et tout cela, afin de comprendre comment les dirigeants en étaient arrivés à la guerre et si elle aurait pu être évitée.

Ses premiers contacts avec la politique proprement dite ont été à l’automne 1939, aux élections provinciales. Lors de l’assemblée de l’Union nationale, alors âgé de 17 ans, Fred a eu l’immense honneur de serrer la main du premier ministre de la province. Au cours des années 40, il est devenu membre de la société Saint-Jean Baptiste et plus tard de l’ordre secret de Jacques Cartier. Il avait des convictions nationalistes et fut d’abord un fervent partisan du Bloc populaire. Il continua à suivre, à aller voir et à écouter, toujours fasciné et avec le plus grand intérêt, les hommes publics tels que Maurice Duplessis, Louis St-Laurent, Lester B. Pearson, John Diefenbaker, Georges-Émile Lapalme, Antonio Barette, Jean Lesage et plusieurs autres. C’est lui qui fut l’organisateur de Jean Marchand et qui contribua au premier chef à l’élection des 3 colombes sous Lester B. Pearson : Jean Marchand, Pierre Elliot-Trudeau et Gérard Pelletier.

Lecteur assidu du quotidien Le Soleil, de l’Action catholique, du Devoir ainsi que des pages éditoriales des journaux au cours de ces années, il a pu bénéficier d’une formation politicoéconomique qu’il n’avait pas eu la chance d’obtenir durant ses études.

Que dire de ses nombreuses implications : président des jeunes libéraux pour le comté de St-Sauveur; organisateur en chef pour le comté de Québec Ouest aux élections fédérales, président de l’association senior des libéraux, et délégué à la Convention Nationale pour le choix du chef de parti au soutien de Pierre-Elliot Trudeau, pour n’en nommer que quelques-unes. Vous vous rappellerez également que Fred était très investi dans le Carnaval de Québec. Impliqué comme bénévole depuis ses débuts, il est éventuellement devenu président du Duché de Frontenac! C’est là qu’il a développé à la fois des liens d’amitié et d’affaires qui lui ont permis de catapulter l’entreprise familiale de son père dans les ligues majeures.

Parallèlement à son implication bénévole, Fred était en effet impliqué dans l’entreprise familiale. À la fois à cause de l’évolution technologique de l’imprimerie qui l’empêche de devenir typographe et la demande grandissante des métiers de la construction au début des années 40, il décide de rejoindre la compagnie de son père comme peintre. En 1946, il prend pour épouse Yvette Brindamour, la sœur d’un de ses meilleurs amis, André. Et c’est entre 1948 et 1959 que sont nés leurs quatre enfants : Jean-Pierre, Francine, Andrée-Lucie et Claudette.

C’est en 1965 que sa carrière politique prendra aussi un autre tournant. Alfred reçoit un appel de Gilles Lamontagne, le chef du parti du Progrès civique, qui lui demande de reprendre du service après avoir cessé son implication auprès des partis Libéral provincial et fédéral quelques années plus tôt. Alfred est ainsi élu échevin de la Ville de Québec avec l’équipe du Maire Lamontagne. Élu en 1965-69-73-77 et finalement en 1981, il accomplira de nombreuses réalisations avec l’équipe du Progrès Civique. Durant ses mandats, il siégea sur plusieurs comités tels que ceux qui concernaient la restructuration du service des incendies, la mise en place du service des loisirs, l’organisation du transport public ainsi que les programmes de rénovation de quartier. Il fut aussi membre du comité sur l’environnement ainsi que de la commission d’urbanisme. Puis, il représenta aussi la Ville de Québec à différentes occasions, soit : au comité d’administration du Carnaval ainsi qu’au bureau d’assainissement des eaux du Québec métropolitain. Il siégea finalement sur le comité exécutif de la ville de 1977 à 1985, dont quatre ans à titre de vice-président et de doyen du conseil. On mentionnait d’ailleurs dans un article du Soleil du 24 août 1978 qu’à eux quatre, les trois conseillers ainsi que le maire, « ces édiles constituent ce qu’il convient d’appeler le « saint de saint » de l’administration publique de la vieille capitale. Grâce au comité, ils assument la bonne marche des affaires courantes de Québec, ils prennent toutes les décisions majeures, ils approuvent tous les projets de règlement. C’est là que se trouve l’essence même du pouvoir municipal! ».

Après 20 années de travail, de plaisir, mais aussi de patience et d’acharnement comme conseiller de la Ville de Québec, Alfred a décidé de se retirer de la politique. Sa contribution a été soulignée à maintes occasions, incluant par l’honorable Pierre-Elliot Trudeau et le maire Jean Pelletier, et par le billet d’une décoration de la Reine Elisabeth II à l’occasion de son jubilé d’argent de règne. Ses contributions à la Croix-Rouge et à la Société canadienne du cancer ont également été reconnues.

Ironiquement, Fred a confié à sa petite fille lors de l’écriture de sa biographie qu’il ne pensait pas qu’il serait bon pour faire de la politique. Il pensait que c’était pour les autres jusqu’au moment où on lui a dit qu’il pourrait en faire. Et quand il s’est décidé, il y a trouvé bien du plaisir. La preuve, en réponse à la question « Quels seraient vos conseils pour savourer la vie le mieux possible? », sa réponse était « Faire de la politique. Tout le monde peut faire de la politique. » On sentait d’ailleurs qu’il aurait bien aimé qu’au moins un de ses enfants ou de ses petits-enfants s’engagent en politique!

Et que dire de sa vie après la politique? Elle n’était pas moins active. Entre ses copains du Patro, le billard, les soirées de carte avec les beaux-frères et les belles-sœurs, les étés au lac Sergent, sa compagnie de peintres en bâtiment qu’il a gardée ouverte jusqu’à l’âge de 76 ans, et ses autres occupations, il a eu une vie bien remplie. Il se comptait aussi très chanceux d’avoir fait des voyages en Europe et aux États-Unis. Ses derniers voyages, à New York et Boston, qu’il a effectués avec sa fille Claudette l’ont comblé.

Il a aussi été très présent pour ses petits-enfants, que ce soit pour les accueillir chez lui ou au chalet, pour des sorties au musée ou en ville, pour l’apprentissage de la peinture et de la conduite du bateau à moteur, pour la pêche, et autres péripéties. Ses entreprises n’étaient pas toujours fructueuses, mais le coeur y était. Il y a d’ailleurs ce moment où ses petits-fils Thierry et Dominic voulaient faire voler un cerf-volant au chalet du lac Sergent. Comme il n’y avait pas assez d’espace, Fred a décidé de prendre le bateau à moteur pour essayer de le faire voler sur le lac, un échec total.

Beaucoup des souvenirs que j’ai partagé avec vous aujourd’hui, nous les devons à sa mémoire d’éléphant. Ceux qui l’ont côtoyé sauront qu’il avait toujours une histoire à raconter. Le fait qu’il ait un jour serré la main de la reine d’Angleterre était d’ailleurs pour sa petite fille Sophie une des histoires mythiques qui l’a poussé à écrire sa biographie!

Quelques extraits tirés d’une entrevue réalisée avec Alfred Royi :

Quel impact ont eu sur vous, sur votre développement personnel des événements historiques tels que la guerre ou encore la crise économique?

A : Durant cette période, on était très inquiet sur notre avenir, on se demandait si un jour on serait capable de se marier et d’avoir des enfants tellement l’avenir paraissait difficile. On a pris le parti de travailler pour essayer de faire un monde meilleur.

Qu’est-ce qui selon vous fait notre bonheur dans la vie, fait que l’on a une vie heureuse?

A : C’est une question très importante parce que tout le monde cherche le bonheur, mais le bonheur, c’est le présent, c’est de profiter du moment présent. Quand tu travailles et que tu es heureux de travailler, quand tu fais des activités politiques et que ça va bien, tu es heureux. C’est vraiment de vivre le moment présent qui compte, de le vivre pleinement, de toujours avoir des projets et des rêves.

Qu’est que ça vous a apporté de travailler au cœur de la politique de votre quartier, parmi tous ces gens importants?

A : Ça m’a apporté beaucoup de choses. Tout d’abord, l’estime de mes concitoyens : encore aujourd’hui j’ai des rencontres et ils me manifestent encore beaucoup de respect. Puis, pour ma formation personnelle, ça a représenté beaucoup. Il faut dire que j’avais un goût pour la politique tellement prononcé que c’était une réelle satisfaction de pouvoir y travailler.

Comment envisagez-vous le futur maintenant que vous êtes à la retraite?

A : Je suis très heureux, la vie m’a comblé et j’en profite. 

i Entrevue réalisée dans le cadre de la biographie rédigée par sa petite-fille Sophie comme travail de fin du secondaire en 2004.


19 messages reçus

Famille Roy

Mes plus sincères condoléances.

Sonia Gignac, le 17 avril 2020

A la famille...

Mes plus sincères condoléances...j’ai bien connu M. Roy surtout que je le voyais aux messes du samedi à Ste Angèle de St Malo...

Gilles Lamontagne, le 17 avril 2020

À toute la famille Roy

Bonjour à toute votre famille. Je tiens à vous dire que je suis de tout coeur avec vous tous. Alfred était une personne tellement extraordinaire. On se sentait toujours important à ses yeux quand il nous parlait. Un grand monsieur rempli de bienveillance envers son entourage. Quelle tristesse de vivre un deuil en ce temps de pandémie. Ouf! Je vous embrasse. Manon xx

Manon Méthot, le 17 avril 2020

à la famille de Monsieur Roy

J'ai connu monsieur Roy aux déjeuners des Anciens du Patro Laval, il y a quelques années. Il m'a confié avoir connu mon père (Elzéat-Donat) durant sa jeunesse et aussi mon grand-père (Donat) pour qui il a travaillé alors qu'il était tout jeune homme. Il l'avait connu au Patro également.

Mes plus sincères condoléances à toute sa famille !

André Deschênes

Deschênes, André, le 17 avril 2020

à la famille de monsieur Roy

Mes condoléances suite au décès de monsieur Roy qui à titre de conseiller municipal a toujours défendu avec vigueur les intérêts de ses concitoyens et qu’on surnommait le maire de St Sauveur

François Marchand, le 17 avril 2020

À toute la famille de M. Roy

J'ai eu la chance de rencontrer et d'apprécier M. Roy à de nombreuses reprises au cours des cinq dernières années.
Il m'a souvent confié ses souvenirs politiques, datant souvent de bien loin!
Il m'a conseillé à plusieurs reprises depuis que je suis député, toujours avec générosité, gentillesse et sagesse.
Il me manquera, il nous manquera beaucoup.
Merci d'accepter l'expression de mes sincères condoléances.
Que le souvenir de sa vie et de son amour nous guide et nous inspire pour toujours.
Jean-Yves Duclos
Député fédéral de la circonscription de Québec

Jean-Yves Duclos, le 17 avril 2020

La famille Roy

Une grande perte, qu’elle personnalité, tu vas nous manquer FRED

Jean-Marc Paquet , le 19 avril 2020

La famille Roy

Bonjour, je suis la fille de feu Léo Paquet et nous avons très bien connu et fréquenté M. Roy à plusieurs reprises. Je partage votre peine et vous transmets mes plus sincères condoléances.
Ps a-t-il été atteint de la covid?

Josée Paquet , le 19 avril 2020

La Famille de M.Alfred Roy

Nos plus sincères condoléances à la Famille de M Alfred Roy

M. Roy était un élu qui a représenté notre quartier de façon remarquable; il était tout autant respecté et respectueux de tous.

Nous garderons un excellent souvenir de lui, comme un homme qui aura marqué son environnement de façon exceptionnelle.

Roland et Serge Ferland, le 19 avril 2020

Pierre,Francine,Claudette et la famille élargie.

Je viens d'apprendre le décès d'oncle Fred...Sincères condoléances à la famille...Que de souvenirs de nos étés aux Saules...Prenez bien soin de vous...

Paul-André

paul-andre paquet, le 19 avril 2020

Jean-Pierre et Jacqueline

Micheline et moi sympathisons avec vous deux suite au décès de ton père Jean-Pierre, nos pensées vous accompagnent dans ces moments difficiles.

Jean-Marc Néron, le 19 avril 2020

M. Alfred Roy

Liliane et moi avons eu la chance de rencontrer M. Alfred à quelques reprises... quel homme remarquable.. Nous voulons offrir nos sympathies aux familles Roy et Brindamour et nous avons une pensée particulière pour Francine et Jean-Pierre de même que quelques uns de ses petits-enfants et arrières petits-enfants. Bien entendu Sarah a toute notre amitié dans les circonstances... Liliane Langlois et Réginald Plante

Réginald Plante, le 21 avril 2020

Aux cousines et cousins

Toute nos condoléances! Oncle Alfred a été une personne importante pour nous et la famille Roy-Houle. Il nous a permis de rester unie en tant que famille élargie. Grâce à lui, chaque année, jusqu'au décès de notre mère, nous avons eu le plaisir de le rencontrer ainsi que tous les autres membres de la famille Roy. Il s’intéressait toujours à ce que nous faisions.
Nos pensées sont avec vous. Bon courage!
Sylvie Houle, Marc Rhéaume et la famille Houle

Sylvie Houle, le 24 avril 2020

Cher cousin et cousines.

C'est avec regret que j’apprends le décès de votre père. Je garde le souvenir d'un oncle très attachant, jovial, intéressé et attentif, d'un homme généreux de sa personne, dévoué pour ses proches et ses concitoyens.
Après une longue vie bien remplie, je te souhaite un repos bien mérité mon oncle. Paix à ton âme.
Bon courage à vous tous.
Comme les obsèques auront lieu plus tard, si cela vous convient, j'aimerais que vous m'en informiez que je puisse lui rendre un dernier hommage.
En toute sincérité, votre cousin.
Jean-Pierre

Jean-Pierre Pelletier, le 28 avril 2020

Famille Roy

Mes sentiments les plus sincères pour le décès d’oncle Alfred. Je viens tout juste d’apprendre son décès. Je l’ai vue pour la dernière fois au décès de Papa, Robert Pelletier, en mars 2015. Il était très vif et d’une beauté intérieure et extérieure très marquante.
La période que nous traversons, n’aide en rien à traverser un deuil. Peut importe l’âge, laisser partir un de nos parents n’est jamais facile.
Mes sincères condoléances en ces temps difficile.
Jean-Pierre et Natali-Juli se joignent à moi.

Élise Pelletier , le 29 avril 2020

Jean-Pierre, Francine, Claudette, Dominic, Thierry-Dimitri, Sarah, Sophie... et tous les autres.

Je présente mes condoléances aux enfants, aux petits-enfants, aux arrière-petits-enfants, aux beaux-frères, aux belles-sœurs, aux neveux, aux nièces et à tous les proches de cet homme admirable qui a fait beaucoup pour sa famille et pour sa communauté. Mon parrain était un homme droit, généreux et attentionné pour les gens qu’il aimait; je vais très certainement m’ennuyer de sa généreuse bonté et me souvenir de l’amour qu’il portait à mes parents et à ma famille.

Claude Brindamour, le 3 juillet 2020

La famille Roy

Très touchante cérémonie cet après-midi. Que de souvenirs ceci fait remonter à la mémoire. J'aurai toujours une grande place dans mon coeur et une reconnaissance éternelle pour Yvette et Alfred, que j'appelais souvent à la blague mes seconds parents.

En mon nom et en celui de toute la famille Brindamour d'Abitibi, toute mon affection et mes condoléances

André B.

André Brindamour, le 4 juillet 2020

Famille de oncle Alfred Roy

Nos plus sincères condoléances à toute la famille.
Jean-Marc, Céline et les enfants xxx
Nous garderons un excellent souvenir de l'oncle Alfred.

Céline Boilard et Jean-Marc Roy, le 5 juillet 2020

Toute sa Famille

Je viens juste d'apprendre la triste nouvelle. C'est une grosse partie de ma vie qui vient de partir. Oncle Fred merci pour tout. Toute la famille Roy vous sera éternellement reconnaissante de l'avoir pris sous votre aile.

François Julien, le 3 août 2020

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