À Québec (arr. Sainte-Foy), le 4 mars 2022, est décédé Claude St-Pierre, professeur émérite de l’Université Laval. Il était l’époux de feu Colette Sauvageau.
Il laisse dans le deuil son fils François. Il est allé rejoindre son fils Michel, ses parents Rose Perth et Charles St-Pierre.
Lui survivent dans le deuil ses belles-sœurs : Madeleine, Rachelle o.s.u., Denise s. s.c.m. et Lucienne (feu Gaston); ainsi que ses nièces et neveux.
Une cérémonie privée en sa mémoire se tiendra avec la famille proche.
L’inhumation des cendres aura lieu à une date ultérieure au cimetière Notre-Dame-des-Neiges, Montréal.
Mon père souhaitait que vos témoignages de sympathie se traduisent par un don à la Fondation Michel-Sarrazin.
Site Web: www.michel-sarrazin.ca
Mon nom est Luc Beaulieu et je fais partie du dernier groupe d'étudiants gradués que Claude a supervisé. Il a été un directeur hors pair autant pour ma maitrise que pour mon doctorat. Je reprend encore aujourd'hui plusieurs de ses enseignements avec mes propres étudiants et étudiantes. Je tenais à vous exprimer mes sincères condoléances ainsi que souligner combien M. St-Pierre a été une personne importante dans mon parcours.
En mon nom personnel et au nom des membres de l’Association des retraités de l’Université Laval, nous tenons à offrir nos sincères condoléances à votre famille à la suite du décès de monsieur Claude St-Pierre, professeur retraité de la Faculté des sciences et de génie.
Nos pensées vous accompagnent dans cette période de deuil que vous traversez et nous vous offrons toute notre sympathie.
Johanne Morneau, présidente
Désolée d’apprendre le décès de votre père qui n’a pas tardé à rejoindre votre maman. Qu’il repose en paix !
J'ai appris très récemment le décès du professeur Claude Saint-Pierre le 4 mars 2022. Je désire présenter mes condoléances à toute sa famille, et en particulier à son fils François.
Le professeur Claude Saint-Pierre m'a accueilli avec beaucoup de bienveillance, quand je suis arrivé de France en septembre 1965. J'ai pu bénéficier de ses connaissances en physique nucléaire et travailler de nombreuses heures avec lui durant les campagnes expérimentales sur l'accélérateur Van de Graaf. L'efficacité recherchée n'empêchait pas les traces d'humour et une bonne humeur constante. Déjà à cette époque, il parlait de la mort avec un certain détachement. Mais son décès à un âge avancé a montré son goût de la vie.
Avec toute ma sympathie,
Daniel Doutriaux
Paris, France
