To the family of Marc.
An old Irish saying, a fine fellow well met.
C’est avec une immense tristesse que nous vous annonçons le décès subit de Marc Boutin survenu le 30 octobre, à Québec. Il était le fils de feu Fernand Boutin et de feu Isabel Doyle.
Il laisse dans le deuil ses deux enfants : Camille (Fred) et Félix; ainsi que leur mère Marie-France Desrochers; ses trois petits-enfants : Odile, Maïkan et Flavie; ses sœurs : feu Louise Boutin Lacroix, feu Monique Boutin Amyot et Lucie Boutin Bertrand; sa compagne Zoé Laporte, son ami Gilles Simard et sa nièce Dominique Amyot.
Marc laisse aussi dans le deuil les membres des familles Lacroix, Bertrand, Amyot et Desrochers ainsi que tous-tes les fidèles amis-es, collègues et camarades qu’il a côtoyés tout au long de sa vie à titre de militant impliqué dans les luttes urbaines de Québec, notamment dans le quartier St-Jean-Baptiste (Compop), ou encore dans les multiples dossiers qu’il a portés comme parent aimant, ami dévoué, journaliste à Droit de Parole, architecte, dessinateur, géographe, poète, peintre, sportif amateur et bon vivant.
« Marc va beaucoup nous manquer, mais il aura laissé beaucoup. »
Vous êtes invités à venir rendre hommage à M. Marc Boutin le samedi 25 septembre 2021 à la Nef de l'Église Jacques-Cartier (160 rue St-Joseph Est, Québec, QC G1K 3A7). La famille recevra les condoléances de 13 h à 14 h 30 et le tout sera suivi d'une cérémonie intime.
Nous devrons appliquer les mesures sanitaires prévues par la santé publique. Sachez que le passeport vaccinal n'est pas exigé pour les funérailles.
Vos témoignages de sympathie peuvent se traduire par un don au Journal Droit de Parole (418-648-8043) www.droitdeparole.org, au Compop www.compop.net ou à tout autre groupe populaire ou communautaire de Québec.
An old Irish saying, a fine fellow well met.
J'ai appris avec tristesse et étonnement le décès de Marc Boutin. Je ne le connaissais pas intimement, mais sa présence militante à plusieurs des manifestations auxquelles j'ai participé était rassurante et me servait de phare pour évaluer la justesse de mon engagement. Sa plume à Droit de parole m'a souvent renseignée sur des événements importants qui se déroulaient dans mon quartier et dont les autres médias de la ville faisaient bien peu de cas.
Pour ces raisons, merci!
Ta voix, ton engagement laissent des traces à suivre.
...j'ai été un de ses professeurs en architecture
...devenu un très grand ami par après...............
...activiste positif, pamphlétaire cultivé.............
...talentueux, respectueux et visionnaire...........
...triste absence...................................................
toutes mes sympathies / famille et proches
Gilles Tremblay
La présence, disponibilité & gentillesse de Marc nous manquera. Son départ s'est fait si rapidement et brusquement que cela est bien particulier aussi, je sympathise profondément avec vous. Il aura accompli de belles choses au plan social & artistique, talentueux et persévérant qu'il était. Faut s'habituer aussi de ne plus le croiser dans une des rues de Québec...! Ainsi va la vie...
Nous voulons apporter notre support à Camille, Félix et à Gilles Simard et aux personnes qui ont vécu autour de Marc. Nous ne pouvions pas toujours être d'accord avec les propos de Marc. Mais il a démontré une continuité rare et une résistance à toutes les chansons de la profession et de l'argent. Il a aimé Québec, la ville et les habitants du Centre-Ville. Je l'ai connu aux débuts de Droit de Parole. Nous espérons que les dessins de la Ville présentés en exposition il y a 3-4 ans seront recueillis dans une publication. Il y a une place dans le coeur immatériel de l'humanité pour les individus d'une pièce. Et tu continueras de veiller sur les gens que tu as aimés et que tu aimes encore.
Florence Paquet et Paul-Yvon Blanchette.
Un grand bonjour à toutes les personnes proches de Marc, je ne suis pas de ces personnes là, cependant mes chemins ont croisé ceux de Marc à plusieurs reprises et dans beaucoup de circonstances. Je revoie mon ami Marc en 1973 lorsque avec plusieurs autres parents nous avons fondé la garderie Pomme d'Api qui a commencé son périple à l'ancienne école La Providence. Je ne compte pas par la suite tous les moments où le hasard nous a fait croisé nos chemins. Nous devions participer aux mêmes types d'activité. Marc homme de parole, homme de caractère, homme de conviction, homme d'engagement, homme de et du Droit de parole je te salue bien Haut.
Toute mes sympathies à toi LUCIE et à ta famille.
Avec mes meilleurs souvenirs ....
Suzanne
Mes plus sincères condoléances aux membres de la famille et aux amiEs de Marc.
Mes plus sincères condoléances aux membres de la famille et aux amiEs de Marc.
Chère Lucie,
Je suis une amie d'enfance de Marc. J'ai eu l'occasion de connaître toute votre famille. Mon père était votre pédiatre. Nous habitions pas loin sur la Grande-Allée. J'ai croisé Marc pour la dernière fois l'an dernier dans le quartier. Il était avec ses enfants et avait l'air heureux. Il va nous manquer. J'en garde un très bon souvenir.
Sincères condoléances à toi et à ta famille.
Marie Lapointe
Mes condoléances à toute votre famille.
Marc et moi avons grandi voisins l'un de l'autre sur l'avenue Laurier mais nous nous sommes peu connus dans notre jeunesse. C'est dans les engagements sociaux au Centre Ville de Québec que j'ai eu l'occasion d'apprécier son ardeur à défendre les intérêts de la population de nos quartiers. Le souvenir de sa militance reste une inspiration pour tous ceux et celles qui travaillent à un monde plus juste.
Qu'il repose en paix
Jean Picher.
Il va nous manquer le grand Marc, ses sourires, ses discours urbains et ses regards complices. Je pense à vous tous et à toi Zoé... une marionnette lapin te salue chaudement!!!
C'est avec une tristesse immense que nous avons appris le décès de notre ami Marc. Nous l'avons fréquemment côtoyé dans plusieurs luttes urbaines et sociales. Nous avons pu admirer son engagement dynamique et stimulant. Il nous manque énormément.
Solanges Hudon et Serge Roy
Le départ de Marc a été un grand choc pour moi. Je peux imaginer ce que ça représente pour vous qui étiez si près de lui... Je vous offre toute ma sympathie.
Ma sympathie aussi à toute la famille et aux ami-e-s.
J'ai toujours admiré Marc le militant, mais ce qui me reliait à lui était surtout l'amour de la poésie, le plaisir d'offrir les visions contenues dans nos mots et celui d'accueillir celles des autres. Je reconnaissais en lui "l'esprit nomade des rêveurs"
Marc, tu as nourri ma confiance dans mon chemin de poésie, mon droit de parole.
Merci et bon voyage!
Le choc passé, je suis reconnaissante d'avoir partagé tellement de bons et intenses moments de vie avec le grand Marc! ...les nuits blanches de montage du journal, les débats de rédaction, les fous rires, les bières à la taverne du coin, les chaleureuses bouffes ...et ce magnifique et séduisant sourire ... Félix, Camille, Gilles, de ces moments de confidences partagés avec lui, n'ayez jamais de doutes, Marc vous aimait infiniment ... Je vous offre mes meilleures pensées ... Quel privilège j'ai eu de le connaître ...
Marc a joué un rôle de passeur important. Toujours intéressé à partager ses connaissances avec ouverture et conviction, mais aussi un brin de cynisme, il savait rallier beaucoup de gens aux causes qu’il avait à coeur. À moi il m’a permis de connaître Québec et son cœur, et m’a donné l’élan pour m’impliquer dans mon quartier et m’a fait le cadeau de bien des discussions intéressantes. Il restera toujours dans ma mémoire et je l’imaginerai encore longtemps marcher ici, aux alentours, fine silhouette avec son béret... mes plus sincères condoléances à tous. Je partage votre peine.
Vous souhaite forts et tendres tous réunis avec Marc. Mes fraternelles salutations et courage.
Grosses pertes pour tous, dur d'imaginer que je ne le croiserai plus dans Saint Jean Baptiste alors je n'oses imaginer votre chagrin a vous qui le fréquentiez tous les jours. Vous avez toute mon affection.
Pilou xxxx
On pense beaucoup à vous , nos sympathies les plus sincères . On vous aimes xxx
Mes sincères sympathies à vous deux ainsi qu’à toute la famille!
Camille, Frédéric, Maïkan, Flavie , membres de la famille et amis nos pensées vous accompagnent en ces moments difficiles
J’ai appris début novembre par Gilles le départ soudain de Marc, dont j’étais devenu un voisin depuis un an, et que je connaissais par le Compop depuis peu après mon arrivée à Québec.
L’inlassable défenseur du quartier et de son cadre de vie s’en est allé, et cela m’a attristé sincèrement.
À toi Zoé, que peut-être parfois j’ai importunée parce que je vous croisais et que j’avais un truc à dire à Marc, à toi Gilles, que je connais -physiquement- depuis peu, je présente mes condoléances les plus sincères. À la famille aussi, que je n’ai pas eu le loisir de connaître.
Gilles,
Des complications liées à mon état de santé m’empêcheront de passer samedi en basse ville, et plus globalement me « confinent » chez nous.
Il tombe comme un grand chêne. Son imagination, sa gentillesse, ses luttes m'ont toujours inspirée. Le quartier Saint-Jean-Baptiste perd un grand défenseur. Mes condoléances.
J'ai accusé un coup immense en apprenant la très mauvaise nouvelle du soudain départ inattendu de Marc et j'accuse encore et pour toujours le coup. Son départ a laissé un grand vide dans ma vie et mon coeur, aussi grand que le coeur de Marc lui-même. Il demeure à jamais pour moi un excellent exemple de don de soi au quotidien. Puisse-t-il à présent bénéficier de tout le repos qu'il mérite assurément.
On se retrouvait à l'occasion, toi, espèce de grand adolescent, rêveur, engagé, souriant, fidèle à ses causes. Ta clairvoyance n'était pas toujours écoutée, mais tu étais si patient. Je m'ennuie de toi.
Nous perdons un gars motivé par un profond idéal de justice communautaire dont les convictions n'ont jamais vacillées et un artiste de talent engagé. Serge Lépine
Si je ne travaillais pas dans une communauté autochtones c'est certain que je participerais à cet évènement. Je n'ai que de bons souvenirs avec Marc. Il m'a fait découvrir tant de chose.
Enfin Marc, a jamais dans mon cœur
Marc, un compagnon que j’ai côtoyé pendant de nombreuses années dans diverses luttes sociales et dont j’appréciais l'humour et la fidélité à ses positions et engagements.
Il avait un équilibre entre le cœur et la tête, mobilisant sa volonté au service des autres et de la communauté.
Ses talents artistiques et sa grande créativité pour illustrer des projets inusités, originaux et visionnaires vont nous manquer, mais sauront encore nous inspirer pendant longtemps.
Voilà près d'une année Marc nous quittait subitement. Ce fut une douloureuse nouvelle. Nous avons côtoyé Marc dans de nombreuses luttes sociales dans lesquelles il s'est engagé. Nous gardons un excellent souvenir de son engagement et de son amitié.
Texte écrit au lendemain de la nouvelle du décès de Marc :
Il est toujours dur d’apprendre qu’un vieux chêne est tombé, frappé par la foudre. Quand on a eu l’occasion de l’admirer, de près ou de loin, qu’on a pu bénéficier de sa force accueillante, on sait qu’on regrettera très longtemps sa présence.
Voici de premiers souvenirs qui se sont mis à remonter après avoir tenté d’encaisser le choc.
Marc, ami-chêne, ainsi nommé selon la belle image de notre ami commun Gilles, tu faisais du bien à toutes celles et ceux qui t’approchaient, qui acceptaient d’apprendre de toi et de suivre ton exemple, ou de se frotter à tes discours véhéments de conviction, toujours argumentés.
Cela est particulièrement difficile d’accepter ton départ subit sans avoir pu te revoir récemment, quand soi-même on a poussé à ton ombre d’arbre vigoureux, abritée des intempéries par tes robustes branches et ton feuillage protecteur.
C’est à l’âge de 18 ans que, pour ma part, je t’ai connu, « mon » ami Marc, au comité des citoyens de l’Aire no 10 où tu t’étais impliqué dans la clinique populaire d’architecture. Ouvert d’esprit tout en affichant de profondes convictions, toujours disponible, inspiré, talentueux, tu étais tout cela, bien affirmé, dans ta jeune trentaine.
Très vite, j’ai découvert aussi ta générosité incroyable et ton hospitalité remarquable quand j’ai été mise à la porte de notre logis par ma mère lassée de mes absences prolongées. Marie-France et toi m’aviez déjà hébergée en plusieurs occasions rue Saint-Olivier, dans votre maison si chaleureuse du quartier Saint-Jean-Baptiste. Votre chez-vous est devenu mon nouveau chez-moi, sans façon. C’est bien après que j’ai compris que ton écoute bienveillante, ta vaste culture, ton amitié indéfectible et votre bienveillance à la fois joyeuse et passionnée à tous les deux m’ont permis de transiter vers l’âge adulte.
L’architecture et la peinture de ton côté, l’implication avec le Théâtre Euh pour Marie-France, mon travail au Comité de citoyens, nos activités militantes et aussi nocturnes à tous les trois, tout cela remplissait passablement nos vies agitées.
Quelque temps plus tard, Félix est né, et ce fut la fête. Je m’en suis occupée à vos côtés, nous nous partagions les nuits blanches. Tout ce temps-là, je contribuais comme je le pouvais aux dépenses de la maison, selon mes moyens. Puis mon Mathieu s’est annoncé, la maison se faisait un peu petite… j’ai déménagé dans la Basse-ville.
Notre amitié s’est maintenue, au long des décennies, que ce soit à Québec, à Saint-Irénée ou à Montréal. Près de 50 ans d’amitié. C’est fou la vie, la mort.
Ami Marc, je suis honorée de t’avoir connu, mon seul regret est de t’avoir peu vu ces dernières années. Merci, merci, merci pour tout ce que tu as accompli, au sein du mouvement communautaire de Québec en particulier, et tout ce que tu m’as apporté personnellement.
À Camille et Félix et à leurs enfants, à mon amie Marie-France ton ex-conjointe, à ta sœur Lucie, à Gilles ton coloc de longue date et ami homme de cœur, à tes autres parents et amies, amis, je désire offrir mes sympathies les plus chaleureuses et solidaires.
Marie Leclerc